Alain Carbonnel
Formé tout d’abord au conservatoire de Marseille sous la direction de Christian Benedetti, il travaille avec la cie Noëlle Casta jusqu’en 2003, et avec Nicole Chazel au théâtre Carpe diem à Marseille jusqu’en 2004. Il poursuit sa formation au Théâtre National de Strasbourg de 2004 à 2007 (Groupe 36), où il travaille avec Stéphane Braunschweig, Pavel Miskiewitch, Jean-Christophe Saïs, Christophe Rauck, Jean-Yves Ruf, Matthieu Roy, Jean-François Peyret, Marie Rémond, Yann-Joel Collin et Alain Françon.
Après le TNS, il travaille avec Anne-Laure Liégeois (Edouard II de Marlowe), Joël Dragutin (On ne badine pas avec l’amour de Musset), Pierre Ascaride (Les communistes, propos recueillis par Wajdi Mouawad) Bruno Freyssinet et William Nadylam (Stuff Happens de David Hare), Frédéric Sonntag (Toby ou le saut du chien, Atomic Alert, Sous-contrôle, Figures et mythes de George Kaplan de Frédéric Sonntag), Myriam Zwingel (T’es toi de Myriam Zwingel), William Mesguich (La Vie est un songe de Calderon), François Rancillac (Le Roi s’amuse de Victor Hugo), Jacques David (Anne-Marie de Philippe Minyana).
Parallèlement, il s’intéresse à la mise en scène, et signe avec Marie-Aurélie Fassino Arkinian sa première mise en scène Couple ouvert à deux battants de Dario Fo, en 2001 à l’Athanor théâtre à Marseille.
En 2010, il met en scène La Folle allure de Christian Bobin présenté aux Arènes de Nanterre le 1er Septembre 2011.
En 2013, il met en scène en scène Barbe-bleue, espoir des femmes de Dea Loher, spectacle joué au Théâtre 13 pour la finale du Prix Théâtre 13 jeunes metteurs en scène.
En 2014, il met en scène Merveilles de la Guerre – spectacles sur les representations du conflit à travers les oeuvres des artistes contemporains de la guerre – au Goethe Institut Paris.
Entre 2009 et 2015, il met en espace plusieurs lectures au Jeune theatre National, au Théâtre du Rond-Point, ou encore à la Maison de l’Europe et de l’Orient.